"Dans une époque lointaine, dans les années 80, bien avant de fonder les Barbarins Fourchus avec quelques précieux amis, Delfino oeuvra au sein de groupes Rock'n'roll mythiques tels que "The Dead pilot" ou "Nonono" dont seuls quelques passionnés ont pu ouïr le bruit.
À cette époque, les concerts étaient comme de petits attentats souvent impudiques et toujours sonores, ça résonnaient dans les garages ou dans les caves et exceptionnellement sur des scènes plus ou moins improvisées.
À cette époque, Greg Minio, dans sa Sicile natale, trifouillait déjà sa guitare pour occuper ses doigts et son esprit volubile. Il invente en même temps des machineries improbables et diaboliques pour accompagner ses mélodies iconoclastes par de puissantes rhytmiques massives et penchées.
Au fil du temps, il arpente le blues, la musique dub, l'électro et le jazz.
Perfectionnant son style guitaristique atypique et sensuel, il s'initie aux nouvelles technologies sonores de l'époque moderne.
Un jour de tempête, Minio sortit sa guitare et Delfino son dernier cahier de poèmes en prose, une mélodie, un débit, du sens, une évidence.
Ce soir là le public fut transi de bonheur, un bain de jouvence pour le coeur et les oreilles, une simplicité diabolique , des textes farouches tendres ou sauvages, des sons d'aujourd'hui et ceux d'un autre âge..."
Le Rock Club est né, le "slam" Rock est né portant l'idée fondatrice qu'il est possible de jouer partout, absolument par tous les temps avec des moyens techniques pouvant être proches du minimalisme.
Concerts possibles en appartements, en garages, en extérieurs, en ascenseurs, en camions,sur des scènes et même des festivals...
Il est à noter que les pochettes de leurs disques sont fabriquées sur place à l'issue des spectacles comme pièces uniques de collection.
Sur demande spéciale, les concerts peuvent être précédés ou suivis de séances dites "d'exaltation" (technique novatrice, d'articulation, de respiration, de décontraction et d'autodérision positive en mouvement.
Contact : diffusion@barbarins.com
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